Catalogue
Genre : Poésie, Chanson, Théâtre
Édition originale : 1974
Édition BQ : 2005
Prix : 12.95 $
Pages : 240
ISBN : 978-2-89406-203-6
Poèmes de sable
Nouvelle édition révisée et augmentée
Marcel Dubé - Poésie, Chanson, Théâtre -
Tracés et aussitôt effacés par une jeune main aimée, les poèmes de sable sont nés du désir de retrouver ces mots de l’éphémère, repousser la mort, apprivoiser l’amour. Chez Marcel Dubé poète, c’est la voix de l’intime qui se fait entendre, une conscience qui veut passer d’un projet de pays à la venue de sa souveraineté, d’un rêve à sa réalité, d’une pensée à sa parole. Quête de la permanence, de l’immanence, de l’affirmation personnelle et nationale, le recueil se lit comme un journal intime, la rencontre avec un homme ému et engagé, ancré dans ses racines fraternelles et sa langue de conquête. Réunis pour la première fois en 1974, ces Poèmes de sable avaient été chaleureusement accueillis par la critique. Les voici réédités, remaniés et augmentés d’un inédit.
« J’écris donc simplement pour être parlé
Et pour qu’il soit possible à mes frères et amis
D’entendre couler mes larmes
et ma joie se débattre »
À propos de l'auteur
Marcel Dubé
Marcel Dubé est né à Montréal en 1930. Surtout connu comme dramaturge, il est l’auteur de nombreuses œuvres qui ont été jouées à la scène, à la rad (...)
En savoir plus sur l'auteur >Échos de presse
« Ce qui est secret, dans les vers de Marcel Dubé, ce ne sont pas le rythme, les mots, la métaphore, le style, parce qu’on lit ces poèmes comme si on les avait écrits ; ce qui est caché, c’est cette sensibilité tragique, celle d’un homme éperdument à la recherche d’un amour qui ne soit pas la mort, d’un amour qui rajeunirait d’année en année, comme ses compagnes. »
— Jacques Godbout
« Ses vers révèlent autant qu’ils résument tout le talent littéraire de l’auteur, celui dont les œuvres dramatiques sont d’une autre époque. Or, la poésie ne vieillit jamais, la preuve en est ce recueil dont les mots choisis minutieusement et les images qui en jaillissent d’une strophe à l’autre sont sans âge.
— Jean-François Crépeau, Le Canada français