Catalogue
Genre : Roman
Édition originale : XYZ, 2017
Édition BQ : 2020
Prix : 12.95 $
Pages : 248
ISBN : 978-2-98406-451-1
Format : 10,7 X 17,7 cm
Autopsie d'une femme plate
Marie-Renée Lavoie - Roman -
«J’aime quelqu’un d’autre.»
Quelques jours avant les festivités marquant leur vingt-cinquième anniversaire de mariage, la vie de Diane bascule du tout au tout lorsque son mari lui annonce qu’il la quitte.
Une histoire de divorce ordinaire ? Pas du tout. Dans un rythme empruntant aux meilleures comédies romantiques, la «femme plate» de Marie-Renée Lavoie révèle un univers rempli de personnages colorés et de situations plus rocambolesques les unes que les autres. Avec une plume aiguisée et un humour savoureux, Autopsie d’une femme plate dissèque le dérapage contrôlé de son héroïne sur le bord de la crise de nerfs.
«Je suis née plate. Le gène en cause s’est glissé dans la spirale de mon ADN pendant ma conception. Je ne peux pas danser, incapable que je suis de suivre le rythme de la musique. […] Contrairement à ceux qui décodent le rythme, je suis condamnée, moi, à le deviner. Chaque pied que je pose en dansant est une tentative d’attraper la cadence. Je n’y arrive que par hasard, et encore, que très rarement. Je suis officiellement une “pas-de-beat”.»
À propos de l'auteur
Marie-Renée Lavoie
Née en 1974, à Québec, Marie-Renée Lavoie détient une maîtrise en littérature québécoise de l’Unive (...)
En savoir plus sur l'auteur >Échos de presse
« Autopsie d'une femme (tout sauf) plate se savoure ainsi pour ce que le roman est: un antidote à la déprime teintée d'amertume ou à l'autoflagellation pour les pensées pas toujours catholiques que toutes celles qui ont eu à composer après une rupture ont pu avoir en cours de deuil de leur relation. »
— Valérie Lessard, Le Droit
« [...] Marie-Renée Lavoie, dans Autopsie d’une femme plate (BQ), nous fait découvrir Diane, une femme d’âge moyen, qui vient de se faire larguer pour la jeunesse par son mari. Entourée de personnages attachants, elle se relèvera avec une masse et une bonne dose d’humour. »
— Marianne Duguay, Les libraires