Catalogue
Genre : Roman
Édition originale : Del Busso, 2018
Édition BQ : 2022
Prix : 13.95 $
Pages : 240
ISBN : 978-2-89406-484-9
Format : 10,7 x 17,7 cm
Ce qu'on respire sur Tatouine
Jean-Christophe Réhel - Roman -
Lauréat du Prix littéraire des collégiens en 2019, Ce qu’on respire sur Tatouine est un livre hors norme qui surprend par son ton poétique marié à un humour noir et un esprit décalé qui se nourrit de références à la culture populaire. Œuvre vertigineuse et touchante, elle porte un regard extrêmement lucide sur notre époque en suivant la vie d’un jeune homme aux prises avec la fibrose kystique. Après des recueils remarqués, dont Les volcans sentent la coconut, finaliste au Prix des libraires en 2016, et La fatigue des fruits, Jean-Christophe Réhel poursuit dans ce premier roman l’exploration des thèmes qui lui sont chers : la solitude, la fatigue, la maladie.
La route est longue d’un sous-sol de Repentigny jusqu’à la planète Tatouine. Surtout si l’on passe par le Super C, Central Park et le seizième étage du CHUM. Mais, pour l’esprit obsessif, rêveur et décalé du narrateur, ces détours sont autant d’aventures salutaires.
Prix littéraire des collégiens 2019
À propos de l'auteur
Jean-Christophe Réhel
Jean-Christophe Réhel est poète et romancier. En plus de son roman Ce qu’on respire sur Tatouine qui a rempor (...)
En savoir plus sur l'auteur >Échos de presse
« Ce qu’on respire sur Tatouine [est] une ode à l’imaginaire dont l’originalité formelle n’a d’égale que la puissance de son contenu. Le flot de conscience ininterrompu du narrateur lui permet de sublimer la morne réalité du quotidien par des images poétiques fortes. Le protagoniste, tout à la fois attachant, pathétique, hilarant et frustrant, décrit son existence avec humour et sensibilité. »
- Jury du Prix littéraire des collégiens
« Sondant la maladie, la fatigue et la solitude, cette œuvre touchante raconte avec humour, espoir et sensibilité la réalité harassante du narrateur, atteint de la fibrose kystique. […] C’est poétique, lumineux et rythmé par la banalité du quotidien. »
- Les Libraires